Aller au contenu

Xavier Moehr

CRÉATION

MEMOREX SE MEURT

1992

À vouloir tout traduire (le texte de la parole de dieu, la musique des masses nucléiques) les fréquences visibles et audibles pour l’homme en séquences codées l’humain en altère le devenir.
Comme l’ADN qui en base 4, puissance 3, n’utilise sur 64 possibilités que 20 phonèmes et trois ponctuations (acides aminés) l’homme conçoit l’alphabet.
Que dire donc de la discontinuité du vivant selon que l’on s’exprime avec l’alphabet ou l’idéogramme ?

l'homme azimuté

Les Primates Numériques

L’homme mémorex azimuté s’exprimant en alphanumérique, l’image de son son, imprimeuse sonore

l'homme azimuté

Les Primates Numériques

La femme mémorex azimutée, le son de son image, portant l’image de son bébé.

Ainsi le Big bang est dieu unique ressuscité, au sens où la physique souhaite une unicité du fréquenciel et de la masse communicante.
Alors que le fréquenciel du vivant se propulse vers le futur, par le truchement du code.
Il est aisé d’entretenir le rapport du texte au langage ou la valeur de l’écrit sur le parlé.
De rétablir l’exactitude vibratoire face à l’incertitude de la mémoire. L’ADN est l’autotexte du réel.
Son expression en est que plus dense.